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UNE VILLE EN PLEIN RENOUVEAU

En pleine transformation depuis quelques années, Saint-Ouen est aujourd'hui une ville en plein essor et s’affirme désormais comme l’une des villes les plus attractives du département de Seine Saint-Denis. Ses 50 000 habitants profitent de nombreux commerces et marchés de proximité, de lieux de culture (médiathèque, ateliers d'artistes, école des beaux-arts,...), d'espaces dédiés à la nature (lieu d'observation de la biodiversité, Grand Parc, serre Wangari,...) ... De nombreuses entreprises, institutions et lieux de détente ont d'ores et déjà choisi de s'y installer : EDF, Samsung, Artelia, Alstom, Conseil Régional d'IDF, Mob Hotel et son cinéma en plein air, ...

Et de nombreux projets vont voir le jour ! Outre le Village des Athlètes pour les Jeux de Paris (opération à laquelle nous participons), la ville se dotera au cours des années à venir du Stade Bauer avec ses 30 000m² de services et de commerces, de la plus grand halle gourmande d'Europe ou encore du plus grand campus hospitalo-universitaire de Paris. 

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Le Mob Hôtel avec son restaurant/bar, son cinéma plein-air, son potager, son épicerie à 15min à pied

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Le parc des Docks avec son canal, son potager partagé et ses équipements sportifs à proximité

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Un nouveau quartier d’affaires, dans lequel EDF, Samsung, Artelia et Alstom ont déjà emménagé

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La connexion au centre de Paris en 15min par la ligne 13 ou la ligne 14 à proximité

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Le plus grand campus hospitalo-universitaire de Paris en 2028, en face de notre futur lieu

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Une refonte du territoire pour 2024 avec notamment le village olympique, à 10min en vélo

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Le complexe du Stade Bauer pour 2025 : 30 000m2 de services et commerces, à 20min à pied

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Saint-Ouen, en perpétuel renouvellement de son paysage urbain, ré-enchanté par les arts dans la ville

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De nombreux restaurants accessibles, dont « Yaya » tenu par le chef Juan Albarez, à 10min à pied

UN PEU D'HISTOIRE

Devant son nom à Audœnus Dado, évêque de Rouen sanctifié sous le nom de Saint Ouen, la ville reste longtemps un village agricole. Attirant les pèlerins (on prête à l'un des doigts de Saint Ouen la vertu de soigner la surdité), Saint-Ouen se développe vers l'année 1250 autour de la vigne, du blé et de l’osier.

 

Son histoire industrielle débute avec l'ouverture de la gare d'eau en 1830, qui vise à suppléer aux difficultés de navigation sur la Seine et à l'insuffisance des ports de la capitale. Dès lors, des premières usines de produits chimiques et de construction de machines à vapeur s’installent à Saint-Ouen. Ce mouvement s’accélère en 1860 avec le raccordement des docks aux chemins de fer de la petite ceinture, autour de trois activités principales : la chimie, la métallurgie et l’énergie. De nombreux ouvriers et leurs familles s’installent alors dans la ville et deviennent peu à peu majoritaires.

Après la guerre de 1870, les chiffonniers chassés de Paris et de Clichy installent leurs campements et leurs logements sur la Zone de servitude militaire. Dès 1891, un droit de stationnement est demandé aux marchands. Quelques hommes d’affaires commencent dès lors à équiper des emplacements et les louer : c’est la naissance du Marché aux puces. Après la 1ère guerre mondiale, ces marchés organisés seront reconstruits en dur.

 

De nouvelles branches d’activité se développent durant l’Entre-deux-guerres : électricité, électronique, automobile,… Mais entre 1965 et 1975, la désindustrialisation entraîne fermetures d’usines et licenciements. Le secteur tertiaire devient peu à peu majoritaire.

UN PEU D'HISTOIRE

Devant son nom à Audœnus Dado, évêque de Rouen sanctifié sous le nom de Saint Ouen, la ville reste longtemps un village agricole. Attirant les pèlerins (on prête à l'un des doigts de Saint Ouen la vertu de soigner la surdité), Saint-Ouen se développe vers l'année 1250 autour de la vigne, du blé et de l’osier.

 

Son histoire industrielle débute avec l'ouverture de la gare d'eau en 1830, qui vise à suppléer aux difficultés de navigation sur la Seine et à l'insuffisance des ports de la capitale. Dès lors, des premières usines de produits chimiques et de construction de machines à vapeur s’installent à Saint-Ouen. Ce mouvement s’accélère en 1860 avec le raccordement des docks aux chemins de fer de la petite ceinture, autour de trois activités principales : la chimie, la métallurgie et l’énergie. De nombreux ouvriers et leurs familles s’installent alors dans la ville et deviennent peu à peu majoritaires.

Après la guerre de 1870, les chiffonniers chassés de Paris et de Clichy installent leurs campements et leurs logements sur la Zone de servitude militaire. Dès 1891, un droit de stationnement est demandé aux marchands. Quelques hommes d’affaires commencent dès lors à équiper des emplacements et les louer : c’est la naissance du Marché aux puces. Après la 1ère guerre mondiale, ces marchés organisés seront reconstruits en dur.

 

De nouvelles branches d’activité se développent durant l’Entre-deux-guerres : électricité, électronique, automobile,… Mais entre 1965 et 1975, la désindustrialisation entraîne fermetures d’usines et licenciements. Le secteur tertiaire devient peu à peu majoritaire.

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